On menace de brûler un restaurant niçois proche de l'Opéra
Pour commencer le lynchage médiatique d'une restauratrice du Vieux Nice tenant Le Grand Balcon qui aurait refusé de laisser entrer des fuyards poursuivis par le camion. Ce restaurant se trouve juste avant l'Opéra. Il est tout proche d'un restaurant très prisé de l'ancien président à talonnettes, La petite maison qui se trouve de l'autre côté et un peu plus près du cours Saleya.
Il faut se rappeler que le camion a été stoppé à au moins 500 mètres si ce n'est plus devant le Palais de la Méditerranée. A cet endroit les fuyards étaient tout à fait hors d'atteinte du tueur puisqu'il devait déjà être mort ! Mais voilà c'est un restaurant chic que tout le monde ne peut pas se payer alors il faut s'en venger et menacer de l'incendier !
Une certaine "populace", dopée par l'illusion d'une prétendue "démocratie" qui n'est que démoncratie" par le biais de cette chose éminement "toxique" que sont les réseaux sociaux peut devenir franchement ignoble.
La thèse de la radicalisation in extremis
La thèse de la radicalisation instantanée est la fable à laquelle "Casanova", le ministre de l'Intérieur se raccroche pour nous distraire du trou de sécurité qui est la seule véritable cause du massacre. D'après un ami qui a écouté la radio toute la nuit ayant suivi l'attentat, il a été mentionné en passant qu'à Magnan il n'y avait que quelques malheureux policiers municipaux munis d'armes de poing et de barrière ridicules alors qu'il aurait fallu une herse et au moins 3 militaires armés de mitraillettes.
Durant les premières heures et à chaud BFM aurait diffusé un témoignage indiquant qu'arrivé au niveau du barrage situé avant le Palace de ma mère Augier (l'activiste anti-corrida amoureuse des ces chiens ridicules qu'adorent les vieilles coquettes snobs) le chauffard serait descendu de son camion et la police aurait cru sur le moment qu'il était en difficulté ayant perdu ses freins, ce n'est qu'au moment où il aurait sorti un pistolet qu'il se serait fait canarder. Je parle bien d'un témoignage à chaud et en direct, un arabe aurait servi d’interprète.
Il y circulé sur les réseaux sociaux une rumeur disant que la police aurait contrôlé le véhicule devant Lenval avant qu'il ne démarre, le chauffeur aurait répondu qu'il attendait que la foule dégage pour effectuer sa livraison. Une livraison de glaces entre 23 heures et minuit. Mais quoiqu'on en dise si c'est une invention, elle a le mérite d'une certaine vraisemblance car comment le camion a t-il pu faire environ 3 kilomètres avant qu'on ne se rende compte du caractère anormal de la situation.
Il est clair qu'alors qu'on est en guerre, on se croyait encore au temps des 14 juillet bon enfant d'avant le 11 septembre 2001 ! Cette insistance pour abonder dans le sens de la revendication de l'EI est un mélange de bêtise, d'indécence tout cela pour éviter de parler de l'énorme trou de sécurité... En fait un "gouffre" ! Lorsque je passe la frontière pour aller faire des emplettes entre Menton et Vintimille, a Latte très exactement, comme tous les gens de la région, la voiture doit passer au ralenti sous le regard de jeunes troufions nantis d'une arme automatique en bandoulière et d'un curieux chapeau rappelant un peu les couvre chef tyroliens... Mais à Nice dont un Carnaval a failli péter on a pensé que l'Euro 2016 terminé et le temps des vacances et de la détente était arrivé. Il y a même des niçois qui se demandent pourquoi on leur a fait çà à eux, comme si Nice était une planète à part...
Bon à présent cette histoire lamentable me gave, je n'oublie certes pas les enfants et leurs parents dont certains vont devoir finir leur vie à moitié amputés et plus ou moins complètement défigurés. C'est bien pire que l'histoire du Bataclan car jamais les français ne tirent les leçons du passé.