Je suis harassé par le climat de merde qui règne. Vivement que cela finisse. Mais ce n'est pas de moi que je souhaite parler dans ce post...
L'ouvrage que l'on voit ci-contre démontre qu'en une certaine époque tout le monde ou presque à plus ou moins "collaboré" et qu'avant la dernière guerre, dès les années 1930, ce que l'on appelle "élite" a bel et bien préparé la voie au nazisme et à la conquête de l'hexagone par cette saloperie.
Sauf qu'on ne fait pas d'histoire en représentant le monde par un partage entre des pions "blancs" et des pions "noirs". Il ne faut surtout pas oublier que la discipline appelée "histoire" est, par nature et nécessité, une discipline intrinsèquement révisionniste.
On a vu, dans la mise à jour du post concernant François Asselineau, que l'I.N.A, comme la revue Historia, a usé d'un soit disant droit d'auteur (notez que le droit de citation existe...) pour censurer une vidéo d'un candidat qui fait littéralement trembler le "Système". C'est gerbant !
Histoire de collaboration
L'histoire suivante dont je ne suis que le rapporteur (et je vous assure qu'elle est palpitante et que vous ne serez pas déçu du voyage en prenant un peu de temps pour la savourer...), a été vécue par un citoyen que je connais pour ainsi dire quasi intimement.
Voici le bandeau qui orne la page "Face de bouc" de celui dont je suis le "porte-parole". Il est inutile d'y aller voir. Il n'y a rien sur la page en question. Elle est totalement vide !
Un village sudiste bien particulier
Ladite histoire s'est déroulée dans un village sudiste d'un haut pays, connu pour sa mentalité particulièrement réactionnaire. Mais le mot ne veut pas dire grand chose. Tout le monde est "réagit"à quelque chose surtout quand on voit un Fillon qui de fric sur notre dos avoir l'arrogance de ne pas dégager alors qu'il l'avoir promis en cas de mise en examen.
Disons que dans ce village le F.N. y aurait fait des scores remarquables mais cela s'est produit également dans des communes connues pour leur passé "rougeoyant"...
Je suis persuadé pour ma part que Asselineau comme président pourrait contribuer à changer la teneur de l'atmosphère mais bien évidemment je peux me tromper.
Petite tempête dans un bénitier
Les faits dont il va être question se sont déroulés dans un espace paroissial privé, à savoir le salon d'un presbytère et à l'issue d'une réunion de "partage biblique", lors d'un repas soit disant amical. Mais ce n'est nullement une raison pour occulter les faits bien que l'on imagine que ceux qui en sont les auteurs ne tiennent pas à ce que cela s'ébruite et revienne aux oreilles de leurs concitoyens.
La victime le l'histoire fut un bienfaiteur très momentané de la paroisse concernée, le temps d'une seule messe.... Il n'a pas participé au "partage" il n'a fait qu'y passer avant et après. A noter que si le mot homélie a effectivement ce sens de partage, le catholicisme n'a rien a partager. c'est bien là le seul problème. Car si l'on sort des "clous", même si l'on n'a pas dit de choses scandaleuse et que ce qui a été dit est irréfutable, on devient indésirable.
L'histoire commence un mercredi : Jésus a t-il "accompli" la loi ?
Le mercredi où commence l'histoire, l'évangile du jour portait sur la parole de Jésus affirmant qu'il n'était pas venu abolir la loi mais l'accomplir. Comme le curé à invité les fidèles à débattre, il est un des infidèles qui n'était pas que très accidentellement pour une messe à l'intention de sa mère récemment décédée à 95 ans, messe qui n'avait pas été sollicitée mais que la politesse interdisait de refuser.
Après avoir entendu deux ou trois niaiseries l'infidèle s'est jeté à l'eau. Et il a développé sa thèse qu'il a finalement exposé en prélude à une réunion de "partage" et ce en moins de deux minutes chrono.
Exégèse d'un franco-tibétain
La loi n'a rien à ficher dans cette déclaration : Jésus a affirmé seulement qu'il était venu accomplir les prophéties le concernant. On y croit ou on n'y croit pas. Quand à la loi ou plutôt les lois juives (613 mitsvots) tout a été simplifié : plus de tabous alimentaires, aux purs tout est pur, plus de circoncision, quand au cas de la femme adultère vous connaissez l'histoire : que celui qui est sans péché... Sa mise au point posée, l'exégète disparait pour vaquer à ses occupation de DJ pour l'ambiance musicale et revient pour le repas.
La hantise de l'adultère se concentre de nos jours dans la personne des divorcés (privés de communion s'ils sont remariés ou pacsés plus ou moins formellement et des homos. On ne devrait plus parler de tout cela, on e a trop parlé, le traitement de ces bagatelles relève exclusivement du secret de la confession. Surtout après les multiples scandales de pédophiles sans parler du cas d'un certain Tony Anatrella, qui est à n'en pas douter une véritable pourriture. Cet expert freudien, psychanalyste pratiquait des thérapies corporelles consistant en déshabillage et masturbation réciproque. Il a même tenté, je viens de l'apprendre de "convertir" un jeune "hétéro".
L'espèce des "sodomites" est dominante au sein de la secte romaine
Je note que lorsque l'on parle de secte bouddhiste (en fait des "écoles") cela n'a rien de péjoratif.
Bref, si "pédés" ou sodomites il y a, il faut surtout les chercher parmi les curés et leur hiérarchie qui s'occupent trop des fesses des fidèles. Or la population est en principe majeure et vaccinée depuis bien avant l'apparition d'un imposteur nommé Pasteur.
Entendu au propre ou au figuré ils y sont nombreux...
Revenons à l'histoire dont je suis le rapporteur.
Un marguillier à la barbe fleurie
Notez que le marguillier de la paroisse, un apôtre à la barbe de prophète, n'a rien trouvé de scandaleux dans mon intervention. L'exégèse est certainement irréfutable...
Arrive la fin du repas et le dessert, l'invité fait rouler la conversation sur le cas de François Asselineau et affirme qu'il votera pour ce dernier au premier tour et que s'il n'est pas présent au second tour, il votera pour la Marine bien qu'il soit conscient qu'elle est aussi pourrie que le Fillon, que c'est l'Europe qu'elle a escroquée. Tant pis si les banlieues flambent, il faut secouer le cocotier. Vous le savez, en cette matière, on se détermine au dernier moment. Mais les abonnés au littéralisme religieux sont affligés de la triste manie de tout prendre au pied de la lettre. On ne pouvait pas faire la part de la provocation...
Allergie au F.N. et accusation de "négationnisme" et Cie
C'est alors que le marguillier à la barbe fleurie, qui connaît l'intervenant depuis plus d'une décennie, se réveille et lance une objection : on ne peut pas voter pour le F.N. un parti qui comprend toute une aile qui pratique le négationnisme ça ne passe pas. Arrive l'histoire des 6 millions, la Shoah et Cie. Pourquoi ne l'avait-il pas dit plus tôt alors que les intéressés avaient eu l'occasion de débattre du programme annoncé en privé ?
Bref, les choses s'enveniment et le partisan d'Asselineau en première intention, se fait dire que s'il était né avant la guerre, il aurait été "collabo" des nazis, et à la Libération se serait insinué dans les comités d'épuration. Pour ma part, je suppose qu'il se serait fait une joie de faire tondre les femmes censées avoir fauté avec les Chleus (Allemands). Ce ne sont pas là des insultes mais un OUTRAGE qui dépasse les bornes surtout dans le cadre d'une réunion catholique.
L'horreur et il n'est pas excessif de parler d'outrage.
Bien sur le curé intérimaire présent n'aurait pas bronché. Il serait très occupé par sa ligne. Il parait qu'il aurait perdu 18 kilos avec la diète de Sainte Hildegarde, qui notons le en passant ne pouvait pas connaître le sirop d'érable...
Vendredi, jour de crucifixion, torts partagés et tutti quanti...
Notez que cela se passait un vendredi, qu'à l'issue d'une discussion dominicale sur le couac du vendredi, le "patriarche", invité à conclure déclare que les torts sont partagés. Un refrain chez ce Monsieur paraît-il... Quand il lui est demandé d'énoncer les torts, il est pressé de partir. Sa moitié canonique l'attend. Il lui est objecté qu'en termes scientifiques réagir ainsi s'appelle éluder les problèmes et en termes populaires, noyer le poisson. Que croyez vous qu'il répondit après avoir été pressé d'énoncer les torts supposés ?
On en reparlera, il faut que je réfléchisse, il se gratte la tête et une petite toux nerveuse déjà diagnostiquée au téléphone comme un effet indésirables d'un antagoniste de l'angiotensine II (un sartan en l'occurrence, voir les bases de données canadiennes, chez nous c'est censuré) s'empare du gosier de l'intéressé. Une oreille musicale aide parfois au diagnostic puisque l'hypothèse a été émise lors d'une conversation téléphonique et confirmée bien avant toute le litige par le contenu d'une ordonnance. Le phénomène était prétendument aléatoire. Or si l'effet indésirable est dépendant d'une "crève" préalable (défaut d'immunité), il faut des conditions psychiques : être contrarié, voir littéralement coincé pour qu'il survienne. Incapable de justifier sa thèse il a été comme pris à la gorge sans que le moindre geste ait été fait... Evidement quand, par la suite, le phénomène a été évoqué, la réaction a frisé la colère...
Identifier l'auteur des insultes outrageantes
Restait à identifier l'auteur de l'outrage !
L'outragé apprend finalement que le frère de son grand père de celui qui l'a traité de "collabo" est ce fameux personnage, policier membre de la "secrète" (ancêtre des RG) surnommé "le détective" qui a livré les juifs du patelin concerné aux Allemands tandis que d'autres les ont cachés et exfiltrés. Peut-être pas tout-à-fait gratuitement mais qu'importe.
Or tenez-vous bien l'insulteur a justifié sa violence verbale en prétendant qu'il y a eu des martyrs de la résistance dans sa famille. Ben oui le plus grand des "martyr" est le fameux grand oncle "collabo". Et très curieusement les résistants furent plus nombreux après la Libération qu'avant. Il est vrai qu'ils étaient obligés à la discrétion. Néanmoins leurs voisins les connaissaient bien et ont été surpris par un étrange phénomène de "génération spontanée" qui a défié toutes les lois de la biologie qui nous sont connues.
Notez qu'il a été proposé au petit neveu du véritable "collabo", un délai de réflexion pour éventuellement revenir sur son jugement. Poussé par sa femme il a refusé et maintenu sa position.
Quand on a eu un grand oncle au service des nazis, la moindre des choses c'est de tenir ses nerfs. Sans cette sortie de route, celui qui m'a raconté l'histoire n'aurait jamais fait le rapprochement entre le fameux convive qui l'a apostrophé et l'histoire du "détective" dont il connaissait déjà la teneur.
Les chiens ne font jamais des chats sauf miracle
Sauf qu'il parait, en bonne théologique que lesdits miracles ne violent jamais les lois naturelles...
J'admet que l'on n'est pas responsable du dérapage des ancêtres de la tribu mais il est acquis qu'en général les chiens n'ont jamais fait des chats... Toutefois des exceptions sont possibles...
Une sombre histoire de cousins éloignés
Voyons la suite : la victime du vendredi fatal découvre alors avec stupeur que c'est le même personnage qui est en cause à propos d'un conflit entre des cousins éloignés. Il occupe la moitié d'une grande maison et l'autre moitié appartient à la dame. Celui qui voit des "collabos" où il n'y en a jamais eu escompter que sa cousine crève, sans doute rapidement, pour hériter, moyennant le paiement des 60% du au fisc. Or cette vieille femme est une trompe la mort, elle n'a jamais été malade, c'est un des "piliers" de l'église locale connu pour sa voix fort caractéristique. Imaginez une chèvre chantant faux et à contretemps... Bref cette femme n'a qu'une petite retraite et comme le cousin n'a jamais fait la moindre proposition, elle a décidé de vendre en viager à des gens d'origine italienne.
Mise sous tutelle
Mais ce n'est pas tout, rendu furieux par le fait que, par sa propre faute, le quasi descendant d'un vrai "collabo" a échoué, il se trouve que manifestement pour s'en venger, il a saisi la justice pour faire mettre celle dont il comptait hériter sous tutelle. Et il a réussi. Le juge aurait posé la question à la dame de savoir si elle connaissait le nom de sa banque et elle n'a pas su répondre. Il est vrai que cette femme est restée longtemps sans savoir signer un chèque.
Toute la question, étant de savoir si la vente en viager peut être cassée. On peut en douter. Toujours est-il que cette affaire fait l'objet de débats dans le patelin.
Pour ma part, quoique juriste et expert judiciaire, je ne suis pas expert en droit notarial. Je vais donc me renseigner à titre de curiosité sur le sort possible de la procédure en cours... Mais quoiqu'il en soit, à partir du moment où un litige est devenu public, au moins dans le cadre du troisième âge, on a le droit d'avoir une opinion et de l'exprimer. La mienne est très claire : de la part d'un prétendu chrétien, le procédé est haïssable, les motivations ne font aussi doute, ce n'est pas l'intérêt de la dame que l'on a pris à cœur mais il s'agit bien d'une vengeance et d'une humiliation. A ma connaissance, ces cousins n'avaient droit à rien, la dame était libre de disposer de son bien et pour ma part, je ne peux que lui donner raison d'avoir vendu en viager à des tiers. Les cousins auraient pu au moins faire une proposition, je me demande si ça n'était pas le moyen d'éviter, lors de la liquidation, la ponction des 60%. Oui cela m'intéresse techniquement parlant...
Le marguillier à la barbe fleurie devient nerveux
Bien évidemment, quand l'outragé a appris ce qui précède, il en a fait part au marguillier à la barbe fleurie de ce qu'il venait de découvrir. Le ton a immédiatement changé et la "nervosité" est devenu perceptible. Peu importe la rupture était de toutes façon consommer. Ce qui est important à noter c'est qu'alors qu'il n'avait pas trouvé de torts, une inspiration subite a remédié à la carence de jadis. Mais visiblement le "Saint Esprit" n'était pas au rendez-vous. Si le droit à répondre à l'invitation au débat d'un curé polonais du fameux mercredi n'avait jamais été contestée, l'intéressé s'est vu signifier qu'au fond il n'avait que le droit de fermer sa gueule.
Revenons à l'odieux personnage en est venu à des insultes, c'est, de toute évidence, pour se dédouaner d'un certain passé dans la famille et probablement, avant tout pour donner le change, ce qui veut dire qu'il a des raisons d'avoir mauvaise conscience, ne serait-ce qu'à propos de l'histoire de la mise sous tutelle.
Parenthèse sur une chanteuse de talent qui aime la religion mais déteste les mantilles
Il faudrait également parler d'une chanteuse assez "imposante" qui voit des "kakous" où il n'y en a point. Elle aurait du se réjouir de l'arrivée du "DJ" mais cela n'a pas été le cas. Elle aime la religion mais elle en a une compréhension limitée. Elle aurait été une grande pénitente mais ne supportait pas les "mantilles".
Son mari (ou simple compagnon) est devenu une sorte de fantôme transparent (grosse déprime). Soit sa compagne est trop amoureuse de la religion, soit à force de planer au niveau du ciel des constellations, le compagnon aurait fait un atterrissage par trop brutal et ne s'en serait jamais remis. Autre hypothèse : son goût pour les espaces éthérés était une fuite dont la cause restera à jamais mystérieuse. Allez savoir, je ne suis pas sur place et mon expertise dans le domaine psychiatrique ne saurait opérer à distance. J'ai sans doute quelques qualités mais je n'ai point encore le don de l'ubiquité ni le goût des voyages par l'astral....